Quelles erreurs font tous les créateurs vidéo débutants (et comment les éviter) ?
Son inaudible, image floue, montage brouillon… On a tous fait ces erreurs en débutant dans la vidéo. Et c’est complètement normal.
Aujourd’hui, créer du contenu vidéo n’a jamais été aussi accessible. Avec un smartphone et quelques applications gratuites, n’importe qui peut tourner et monter ses premières vidéos. YouTube, TikTok, Instagram : les plateformes ne manquent pas pour diffuser vos créations.
Mais voilà le problème : entre une vidéo amateur et un rendu professionnel, il y a un fossé technique que beaucoup de débutants peinent à franchir. Pas par manque de talent ou de créativité, mais simplement parce qu’ils reproduisent les mêmes erreurs, projet après projet.
La bonne nouvelle ? Ces erreurs sont identifiables et peuvent être corrigées.
Dans ce guide, nous recensons les 7 erreurs les plus fréquentes chez les créateurs vidéo débutants et vous expliquons comment les éviter simplement. Faire des erreurs est normal, c’est en les identifiant qu’on progresse vraiment.
Erreur n°1 : Négliger le son (ou l’enregistrer en dernier)
Le constat qui dérange
Voici une vérité que tous les professionnels connaissent : le son représente 50% de l’expérience vidéo. Pourtant, c’est souvent le parent pauvre des productions débutantes.
Pourquoi ? Parce que le son est moins “visible” que l’image. On passe des heures à choisir le bon cadrage, la bonne lumière… et on découvre au montage que les dialogues sont inaudibles, noyés sous le bruit ambiant.
Les erreurs typiques
- Utiliser uniquement le micro intégré de la caméra ou du smartphone (qui capte tout : le vent, les voitures, les conversations à 20 mètres)
- Tourner dans des environnements bruyants sans protection sonore
- Ajouter la musique au hasard en post-production, sans réflexion sur sa fonction narrative
- Ne pas enregistrer de sons d’ambiance séparément pour enrichir le montage
Les conséquences
Un son saturé, des bruits parasites, des dialogues incompréhensibles… et un spectateur qui décroche en 30 secondes. Vous pouvez avoir la plus belle image du monde, si le son est raté, votre vidéo sera perçue comme amateur.
Les solutions concrètes
✅ Investissez dans un micro externe : un micro-cravate ou un micro canon de base (50-100€) transforme radicalement la qualité de votre son.
✅ Repérez vos lieux de tournage en écoutant : avant de filmer, fermez les yeux. Entendez-vous le bruit de la route ? La ventilation ? Les oiseaux ? Anticipez ces nuisances.
✅ Enregistrez des ambiances séparément : captez 2-3 minutes de son d’ambiance pur (sans dialogue) sur chaque lieu de tournage. Vous pourrez les utiliser au montage pour créer de la cohérence sonore.
✅ Pensez le design sonore dès l’écriture : le son ne s’ajoute pas après coup, il se conçoit dès le storyboard. Quels sons vont raconter votre histoire ?
Erreur n°2 : Sous-estimer l’importance de la lumière
Ce qui change tout
Vous voulez savoir ce qui différencie une image amateur d’une image professionnelle ? Ce n’est pas la caméra. C’est l’éclairage.
Une scène filmée avec un smartphone bien éclairée aura toujours un meilleur rendu qu’une scène filmée avec une caméra RED mal éclairée.
Les erreurs typiques
- Tourner uniquement en lumière naturelle sans contrôle (lumière trop dure à midi, trop faible en intérieur)
- Filmer à contre-jour sans compensation (sujet en ombre chinoise)
- Utiliser la lumière intégrée de la caméra (cette petite LED frontale qui donne un rendu dur et peu flatteur)
- Négliger la température de couleur (mélanger lumière chaude et froide crée des incohérences)
Les conséquences
Une image plate, des sujets mal exposés, des ambiances incohérentes, un rendu peu cinématographique. Vos spectateurs ne sauront pas forcément expliquer pourquoi, mais ils percevront que “quelque chose cloche”.
Les solutions concrètes
✅ Maîtrisez le triangle de base : lumière principale (key light), lumière d’appoint (fill light), contre-jour (back light). Cette configuration simple donne immédiatement du volume à vos sujets.
✅ Utilisez des réflecteurs ou diffuseurs : même bricolés avec du carton blanc ou du papier calque, ils adoucissent la lumière et éliminent les ombres dures.
✅ Privilégiez les heures dorées : pour les tournages extérieurs, filmez au lever ou coucher du soleil (golden hour). La lumière est naturellement douce et chaude.
✅ Réglez la balance des blancs manuellement : ne laissez pas l’automatique décider. Réglez manuellement pour garantir une cohérence colorimétrique.
💡 Bon à savoir : chez SAE Institute, nos studios sont équipés de lumières professionnelles. Les étudiants apprennent à créer des ambiances lumineuses cohérentes avec leur intention artistique, dès la première année.
Erreur n°3 : Filmer sans plan ni découpage technique
La règle d’or ignorée
Improviser sur le tournage, c’est la garantie d’oublier des plans essentiels et de perdre un temps fou en post-production.
Jean-Luc Godard improvisait ? Oui, mais après 30 ans de métier. Quand on débute, le découpage technique est votre meilleur ami.
Les erreurs typiques
- Arriver sur le tournage sans storyboard ni liste de plans
- Filmer au hasard en espérant “rattraper au montage” (spoiler : ça ne marche jamais)
- Ne pas varier les valeurs de plans (trop de plans moyens, pas assez de gros plans ou de plans larges)
- Oublier les plans de coupe et de transition (détails, inserts, cutaways)
Les conséquences
Un montage décousu, un rythme incohérent, l’impossibilité de raconter l’histoire prévue. Vous passez trois fois plus de temps en post-production à essayer de “sauver” votre projet.
Les solutions concrètes
✅ Écrivez un découpage technique avant le tournage : même simple : numéro du plan, valeur (GP, PM, PL), description, durée estimée. Cela prend 30 minutes et vous fait gagner des heures.
✅ Prévoyez les valeurs de plan selon leur fonction narrative — Gros plan pour l’émotion, plan large pour le contexte, plan moyen pour l’action.
✅ Tournez systématiquement des plans de coupe : des détails, des inserts, des réactions. Ils sauvent le montage quand vous devez couper un dialogue ou masquer un raccord raté.
✅ Variez les axes de caméra : évitez la frontalité systématique. Plongée, contre-plongée, profil : chaque angle raconte quelque chose.
💡 Témoignage étudiant : Manon de Fonvielle, étudiante en Bachelor Cinéma, TV & Audiovisuel à SAE Institute Paris, raconte à propos du tournage de la mini-série Ordalie, projet de fin d’année de la promotion 2024-2025 : “Ce genre de projet nous apporte beaucoup d’expérience parce qu’on est vraiment sur le terrain. On est directement confrontés aux problèmes de tournage qu’on n’avait pas forcément anticipés pendant les exercices.”
Dès la première année, nos étudiants apprennent à scénariser, story-boarder et découper techniquement leurs projets. C’est la base d’une production maîtrisée.
Erreur n°4 : Abuser des mouvements de caméra et des effets
Trop d’effets tue l’effet
Les débutants ont tendance à en faire trop. C’est compréhensible : les logiciels de montage proposent des dizaines de transitions flashy, de filtres instagrammables, de ralentis spectaculaires…
Mais voici la règle professionnelle : chaque choix technique doit servir l’intention artistique. Si votre effet n’a pas de justification narrative, supprimez-le.
Les erreurs typiques
- Bouger la caméra en permanence (travelling, panoramique) sans justification narrative
- Multiplier les zooms numériques (qui pixelisent l’image)
- Abuser des transitions (fondus, effets 3D, wipes qui datent des années 2000)
- Ajouter des ralentis ou accélérés sans intention claire
- Utiliser trop de filtres ou de LUTs mal calibrés
Les conséquences
Un rendu amateur, un spectateur distrait par les artifices techniques, une intention narrative noyée dans le bruit visuel. Votre vidéo ressemble à un clip des années 90, pas dans le bon sens.
Les solutions concrètes
✅ Privilégiez la stabilité et les plans fixes : investissez dans un trépied ou un stabilisateur. Un plan fixe bien composé vaut mieux qu’un travelling bancal.
✅ N’utilisez les mouvements que s’ils servent le récit : un travelling avant pour créer de la tension, un panoramique pour révéler un espace. Pas “parce que c’est joli”.
✅ Limitez les transitions : 90% du temps, une coupe franche (cut) suffit. Réservez les fondus aux ellipses temporelles marquées.
✅ Testez les effets avec parcimonie : avant d’appliquer un effet, demandez-vous : “Est-ce que ça sert mon histoire ? Est-ce que ça renforce mon propos ?”
💡 Principe SAE : Nos formateurs apprennent aux étudiants la règle d’or : chaque choix technique doit servir l’intention artistique. Moins, c’est souvent mieux.
Erreur n°5 : Monter sans rythme ni structure narrative
Le montage, cet art invisible
Le montage ne consiste pas à juxtaposer des plans. Le montage, c’est raconter une histoire avec un rythme.
C’est l’étape où votre vidéo prend vie… ou s’effondre.
Les erreurs typiques
- Garder tous les plans tournés sans hiérarchiser (la fameuse “ne rien jeter”)
- Faire des plans trop longs (temps mort) ou trop courts (illisible, spectateur perdu)
- Ne pas respecter la règle des 180° (raccords dans l’axe incohérents qui désoriented)
- Oublier de créer une progression dramatique (début/milieu/fin)
- Négliger les raccords son et image
Les conséquences
Une vidéo trop longue, un spectateur qui s’ennuie ou décroche, des incohérences visuelles qui cassent l’immersion, un message confus.
Les solutions concrètes
✅ Établissez une structure narrative avant de monter : actes, séquences, rythme. Notez sur papier : début (exposition), milieu (développement), fin (résolution).
✅ Coupez sans pitié : supprimez tout ce qui ne sert pas l’histoire. Votre plan préféré ne sert à rien ? Coupez. C’est douloureux mais nécessaire.
✅ Variez le rythme : alternez plans longs (contemplation, tension) et plans courts (action, dynamisme) selon l’émotion recherchée.
✅ Soignez les raccords : raccord de mouvement (un personnage qui marche), raccord de regard (deux personnages qui se regardent), raccord sonore (un bruit qui continue d’un plan à l’autre).
✅ Faites visionner votre montage à des tiers : vous êtes trop proche de votre projet. Un regard neuf identifie immédiatement les longueurs et les incohérences.
💡 Équipements SAE : nos salles de montage sont équipées de DaVinci Resolve et Adobe Premiere Pro. Les étudiants apprennent le montage narratif, le rythme et la grammaire audiovisuelle encadrés par des professionnels en activité.
Erreur n°6 : Négliger l’étalonnage et la correction colorimétrique
La touche finale qui change tout
L’étalonnage, c’est ce qui donne une identité visuelle professionnelle à votre vidéo. C’est la différence entre “ça a l’air fait maison” et “ça a l’air pro”.
Pourtant, beaucoup de débutants exportent leur vidéo directement après le montage, sans jamais passer par la case étalonnage.
Les erreurs typiques
- Livrer une vidéo sans aucun étalonnage (image brute, plate, sans caractère)
- Appliquer des LUTs (Look-Up Tables) sans les ajuster (effet placage, incohérent)
- Créer des incohérences colorimétriques entre les plans (un plan chaud, un plan froid)
- Saturer excessivement les couleurs (effet Instagram poussé à l’extrême)
- Ne pas corriger l’exposition en post-production (plans sous-exposés ou cramés)
Les conséquences
Une image terne ou artificielle, une incohérence visuelle qui distrait le spectateur, un rendu non professionnel qui dessert votre travail.
Les solutions concrètes
✅ Apprenez les bases de la correction colorimétrique : balance des blancs, exposition, contraste. Maîtrisez ces fondamentaux avant de chercher des “looks” créatifs.
✅ Créez une cohérence chromatique : tous vos plans doivent avoir la même température de couleur et la même densité.
✅ Utilisez l’étalonnage pour renforcer l’émotion : ambiances chaudes (nostalgie, confort), froides (tension, distance), désaturées (réalisme, drame).
✅ Formez-vous aux outils d’étalonnage : DaVinci Resolve est gratuit et extrêmement puissant. Des centaines de tutoriels existent en ligne.
💡 Formation SAE : nos étudiants suivent des modules dédiés à l’étalonnage. Ils apprennent à créer des identités visuelles fortes et cohérentes pour leurs projets, sur matériel professionnel.
Erreur n°7 : Ne pas avoir de regard critique sur son propre travail
La dernière erreur (et peut-être la plus importante)
Beaucoup de débutants ont du mal à prendre du recul sur leurs créations. Ils publient leur vidéo immédiatement après l’avoir montée, sans la revoir à tête reposée.
Or, le regard critique est ce qui vous fait progresser le plus rapidement.
Les erreurs typiques
- Publier immédiatement sans laisser reposer le projet
- Ne jamais demander de feedback (par peur de la critique)
- Ne pas analyser les vidéos professionnelles pour comprendre leurs choix techniques
- Reproduire les mêmes erreurs de projet en projet sans les identifier
Les solutions concrètes
✅ Laissez reposer votre montage 24-48h : revenez dessus avec un œil neuf. Vous verrez immédiatement les erreurs.
✅ Demandez des retours constructifs : famille, amis, communautés en ligne. Précisez sur quoi vous avez besoin de feedback (son ? rythme ? lumière ?).
✅ Analysez des vidéos professionnelles : regardez un clip, un court-métrage, une pub. Mettez sur pause. Comptez les plans. Observez les lumières, les mouvements de caméra.
✅ Tenez un journal de progression : notez après chaque projet ce qui a marché, ce qui a raté, ce que vous voulez améliorer au prochain.
Comment progresser rapidement en création vidéo ?
Vous l’avez compris : éviter ces erreurs ne se fait pas du jour au lendemain. Mais voici comment accélérer votre progression :
1. Pratiquez régulièrement
Multipliez les projets courts (1-3 minutes) plutôt que de viser la perfection immédiate sur un long-métrage. Chaque projet est une occasion d’expérimenter et de corriger une erreur spécifique.
2. Analysez des vidéos professionnelles
Décortiquez les choix techniques et narratifs. Pourquoi ce plan dure 5 secondes et pas 10 ? Pourquoi ce mouvement de caméra à ce moment précis ?
3. Formez-vous sérieusement
Les tutoriels YouTube et les cours en ligne sont utiles, mais rien ne remplace une formation structurée avec feedback professionnel.
Pourquoi ? Parce qu’un formateur identifie vos erreurs avant qu’elles ne deviennent des habitudes, vous fait gagner des mois d’auto-apprentissage, et vous donne accès à du matériel professionnel que vous ne pourrez jamais vous offrir seul.
4. Échangez avec d’autres créateurs
Partagez vos projets, recevez des critiques constructives, donnez votre avis sur les créations des autres. La communauté fait progresser plus vite que l’isolement.
5. Créez-vous un portfolio
Archivez tous vos projets, même les ratés. Relisez-les 6 mois plus tard. Vous mesurerez ainsi votre progression, et c’est extrêmement motivant.
💡 L’avantage SAE : Dans nos formations, les étudiants bénéficient de retours individualisés sur chaque projet par des professionnels en activité (chefs opérateurs, réalisateurs, monteurs). C’est la meilleure façon de progresser rapidement, en évitant les mauvaises habitudes dès le début.
🎓 La SAE Institute : un réseau de 4 campus en France
Pour accompagner les futurs artistes, producteurs et techniciens du son partout en France, la SAE Institute s’appuie sur quatre campus idéalement implantés dans les grandes métropoles culturelles : Paris, Lyon, Bordeaux et Toulouse.
Chaque campus dispose de studios professionnels, de matériel haut de gamme, et d’une vie étudiante ancrée dans les scènes locales
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FAQ : Vos questions sur la création vidéo
Quel matériel minimum pour débuter en création vidéo ?
Un smartphone récent suffit pour commencer, complété par un micro externe (50-100€) et un trépied (20-50€). L’important est d’apprendre les bases (cadrage, lumière, montage) avant d’investir dans du matériel coûteux. La technique compte plus que l’équipement.
Faut-il suivre une formation pour devenir créateur vidéo ou peut-on apprendre seul ?
On peut apprendre seul, mais une formation accélère considérablement la progression. Pourquoi ? Parce qu’elle vous évite les mauvaises habitudes, vous donne accès à du matériel professionnel (caméras RED, ARRI, studios équipés), et surtout : vous recevez des retours d’experts qui corrigent vos erreurs en temps réel.
Combien de temps faut-il pour maîtriser la création vidéo ?
Les bases s’acquièrent en quelques mois de pratique régulière. Mais une maîtrise professionnelle demande 2 à 3 ans de formation et d’expérience terrain, comme dans notre Bachelor Cinéma, TV & Audiovisuel. C’est le temps nécessaire pour intégrer toutes les dimensions : technique, artistique, narrative, collaborative.
Quelle est l’erreur la plus difficile à corriger chez les débutants ?
Négliger le son. Beaucoup de débutants se concentrent sur l’image (c’est plus “sexy”) et découvrent trop tard que le son conditionne 50% de la qualité perçue. C’est difficile à corriger car cela demande de changer toute sa méthodologie de tournage.
Est-ce que les formations SAE acceptent les débutants complets ?
Oui, absolument. Nos formations comme le Bachelor Cinéma, TV & Audiovisuel accueillent tous les profils, y compris les débutants. La motivation, la curiosité et l’envie d’apprendre comptent plus que les compétences techniques initiales. Nous partons de zéro et construisons des compétences solides, projet après projet.